mardi 25 décembre 2012

LA RAFLE DU VEL D'HIV


ב''ד

Une chanson inédite de Gilbert Bécaud chantée par Anny Cordy !



À écouter « full volume » !
et à regarder en « full screen » !

DIFFUSEZ AUTANT QUE VOUS LE POURREZ !





LE NOUVEL EMPIRE ET LA RÉSISTANCE DES IRRÉDUCTIBLES


בס''ד

http://www.israel-flash.com/2012/12/le-nouveau-monde-arabe-et-la-resistance-des-irreductibles-%d7%91%d7%a1%d7%93/#ixzz2G38twpPb


En rouge, les pays islamiques, ou en voie de le devenir, ou qui, en tout cas, soutiennent les thèses hégémoniques et expansionnistes de ce camp.
   
En rose, ceux qui ne sont pas encore rouge.

Couleur azure, seule une lueur d’espoir, avec la République Tchèque, brille sur l’Europe.
Mais est-ce bien suffisant ?
 
Impossible de ne pas remarquer le renforcement du croissant musulman dont l’écarlate coule jusqu’à la pointe du Raz, à l’extrême nord-est de l’Europe. 
 
Mais ont-ils conquis tout le pourtour méditerranéen, en raflant le plus largement possible ?
 
Non, car une irréductible étoile à six branches brille sur le monde, au beau milieu de ce croissant de soumission.

L’argent n’a pas d’odeur, dit-on. On ne peut pas en dire autant pour le pétrole, et l’Europe se laisse envahir par la religion des pays de l’or noir. Ce parfum ne laisse plus personne indifférent, puisque même la Suisse s’est colorée en rouge, elle qui se demandait si les minarets la gênaient sans n’avoir rien à redire sur la multiplication des mosquées, édifices aussi neutres que peut l’être le soutien de l’islamisation de tout le pourtour de la méditerranée. 
 
Tout le pourtour ? Tout !
 
Quant à l’Angleterre, il semble qu’elle soit encore rose, encore à mi-chemin entre la blancheur et la couleur du sang. Il faut croire qu’elle s’abstient dès qu’un vote se présente un 29 novembre.

Quant aux dirigeants européens, observez bien leur expression. Voyez le Français Hollande qui revient d’un voyage en Algérie. Ils se sentent coupables, et ils ont des remords. 
 
Nous ne nous attarderons pas ici sur l’indiscutable apport économique, culturel, « civilisationnel », de l’Europe dans ses anciennes colonies ; ni du dépit des populations locales et autochtones délaissées, trahies, abandonnées, dont une bonne partie a suivi et continue de suivre ses tuteurs en Europe. 
 
Nous ne considérerons ici que les remords.
Mais nous allons voir tout de suite qu’ils sont bien plus graves et omniprésents que ce que l’on s’imagine.

Le président français ne se sent pas mal à l’aise parce que son pays a fait de l’Algérie une de ses provinces pendant un peu plus d’un siècle, mais parce qu’il impose aujourd’hui son autorité à une population arabe. 
 
Au fond, il s’excuse de s’imposer d’une façon tout à fait illégitime, en tant que dirigeant étranger, à une population d’où il n’est pas issu. 
 
Pour lui, et pour les autres, de l’Assemblée au Sénat, députés, préfets ou ministres, la colonisation française ne représente pas un passé sur lequel, avec un petit effort, on peut tirer un trait, mais le présent dans toute l’acuité de son actualité.

Et c’est terriblement déshonorant pour des anticolonialistes qui se respectent que d’imposer leur pouvoir à des gens qui n’aspirent qu’à être libres.

Regardez !

Qui s’est promené en France, récemment ?

Qui a marché une bonne demi-heure, d’un bon pas, dans les rues de Paris, de Lille, de Lyon ou de Marseille, et j’en passe ?

Peut-être avez-vous rencontré quelques Français de souche.

Mais en majorité, vous avez surtout croisé la route d’une population originaire du continent africain.

Les Israéliens, majoritairement grands admirateurs de la France et de sa culture, ont déchanté. 

- Moshé B raconte : « Mon fils, après son service militaire, est parti avec quelques amis visiter Paris. Ils ont été encerclés par des Arabes qui avaient la haine dans le regard. Ils ont été frappés. Remis de leur stupeur, ils ont bien rendu quelques coups, mais ils ont dû décamper en vitesse. Je lui ai reproché de ne pas avoir fait attention, d’être allé dans des quartiers à risques. « Mais, non, papa », qu’il m’a dit. « C’était au Trocadéro » ».

- Mme Péled, de Tel-Aviv : « J’aime les rues de Paris. Mais je dois dire que je rencontre de moins en moins cette culture française quand je flâne dans la capitale des lumières. On dirait que la lumière faiblit ».

Depuis plus d’une décennie, les Israéliens, pour ceux qui sont avides de voyages et de dépaysement, préfèrent depuis longtemps l’Extrême-Orient, de l’Inde au Japon, en passant par la Thaïlande.

Il ne faut donc pas en vouloir à ces pauvres Hollande et Fabius. 
Ils n’y peuvent rien, et sont obligés de mettre en veilleuse leurs aspirations – loin de nous de les soupçonner de ne plus vibrer pour elles – aux droits de l’homme, au droit des peuples, y compris Israël, à disposer d’eux-mêmes et à se défendre. 
Ce n’est pas de leur faute, ils ne sont pas coupables s’ils ont reconnu comme membre de l’Onu un État qui veut en effacer un autre, puisqu’il s’agit d’un État arabe contre un autre qui ne l’est pas. 
En tant que Français qui dirigent une population arabo-musulmane, ils étaient bien « obligés » de se montrer démocratiques et de répondre aux aspirations de leurs administrés !

On comprendra donc bien qu’il est inutile d’argumenter ; ni d’expliquer qu’il s’agit de la Terre multimillénaire du Peuple Juif qui est en exil dès qu’il est ailleurs ; ni que les accords d’Oslo empêchent logiquement et déontologiquement l’Europe d’accepter une démarche unilatérale ne découlant pas de pourparlers ; ni que l’approbation ou le silence face à des nations qui veulent effacer un petit pays qui ne fait pas le centième de ce qu’elles occupent en surface rappelle le silence ou l’approbation des pays libres face à la machine nazie.

Et de la même façon qu’aucun pays arabo-musulman n’admet pour reconnaître Israël des arguments qui pourraient pourtant leur être vitaux, comme la coopération économique, l’irrigation, la lutte contre l’avancée du désert, les nouveaux pays musulmans sont obligés de s’aligner sur les positions des plus anciens.

Si l’Europe a reconnu, ou s’est en partie abstenue, l’État arabo-musulman de substitution, c’est qu’elle est en phase de devenir elle-même la suite du continent musulman.

Par Yéochoua Sultan rédaction  Israël-Flash

Copyright © Israël Flash - Reproduction autorisée avec la mention et un lien vers la source



samedi 22 décembre 2012

L’EUROPE S’ISLAMISE À SON INSU DE SON PLEIN GRÉ

L’islam se fout de l’identité des peuples

UN MUSULMAN COURAGEUX DÉNONCE !


Quand j’étais adolescent, je pensais que mes ancêtres étaient des idiots, des incapables et des imbéciles pour avoir accepté il y a presque 15 siècles cette religion de malheur. 

J’avais honte de mon peuple d’origine. 

J’oubliais qu’il avait simplement été battu à la guerre et qu’il s’est soumis à ses vainqueurs qui s’empressent depuis de réécrire son histoire.


Cette histoire tordue que j’ai apprise moi-même à leur école et que j’ai dû désapprendre seul, par l’effort et la persévérance. 

En regardant la France, la Belgique, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Espagne et bien d’autres pays encore, je me rends compte que même des peuples avertis peuvent se faire islamiser dans le dos, par petites touches innocentes. 

En fait, c’est leur environnement politique, culturel et économique qui s’islamise sous les coups de boutoir de nouvelles populations nord africaines inassimilables.


Comme d’habitude, les djihadistes islamisent le « contenant » et les chefs d’abord, puis le « contenu humain » s’adapte petit à petit après une ou deux générations. 

C’est une colonisation tranquille des esprits et de l’espace. 

Les dirigeants français nient cela, bien entendu. 

C’est comme lorsqu’on regarde la grande aiguille d’une montre : On la fixe des yeux et on jure qu’elle ne bouge pas, mais on la retrouve quand même à un autre endroit après « quelque temps ». 

On n’y a vu que du feu !


Français, Françaises, ne vous étonnez pas si un jour les islamistes vous obligent à réécrire votre propre histoire. 

Je veux dire : ne vous en étonnez pas si par hasard vous vous en apercevez. 

Ils vous interdisent déjà, par leur simple présence, d’évoquer la bataille de Poitiers et de citer le nom de Charles Martel. 

En attendant de vous obliger à enseigner dans vos écoles que Charles Martel n’a pas combattu l’islam, mais certains soldats musulmans indisciplinés qui s’étaient adonnés au pillage.


Ils vous obligent déjà à réviser votre identité nationale en vous amenant à dire publiquement que l’islam est l’une des racines de la France, en attendant de devenir sa seule racine.


Ils affirment déjà que Victor Hugo était musulman, que le commandant Cousteau était bigot 5 fois par jour et que Bonaparte était en admiration devant le génie de la civilisation islamique.


Vous écoutez déjà doctement Malek Chebel vous parler de l’Âge d’Or de l’islam et d’une lecture chouette du Coran sans que personne ne lui rit au nez en direct.


Vous laissez déjà Bouteldja vous insulter impunément sur tous les plateaux de télévision et le MRAP vous traîner en justice à la moindre respiration non halal.


Vous écoutez déjà Tariq Ramadan vous ressasser que le djihad est un combat défensif, sans que personne ne lui demande de quoi les musulmans étaient-ils allés se défendre en Afrique du Nord, en Espagne, dans les Balkans, en Inde, à Viennes et à Poitiers.


Vous mangez déjà hallal sans le savoir et à ce train, bientôt vous fermerez vos charcuteries et vos terrasses de bars, sans le savoir non plus. 

Ils vous ont déjà mis à genoux en vous forçant à admettre comme vérité le plus gros mensonge de l’Histoire, à savoir que l’Occident a découvert la philosophie, les mathématiques, les sciences, l’astronomie et la technologie grâce à l’islam qui vous les a généreusement transmises (en oubliant quand-même de les transmettre aux musulmans).


Bientôt, vous aurez honte en vrac de Pierre et Marie Curie, de Voltaire, de Pasteur, de Flaubert, de Claude Levis Strauss, de Molière, de Louis IV et de Jean Moulin. Ces renégats avaient trahi les racines islamiques de la France !!


L’islam se fout de la vérité, de l’histoire et de l’identité des peuples. 

La seule chose qui compte pour lui est que ces peuples se soumettent à sa loi. 

Il exige donc qu’en gage de soumission, ces peuples révisent eux-mêmes leur histoire, travestissent eux-mêmes la vérité, renient d’eux-mêmes leur identité collective, changent eux-mêmes leurs référents culturels, profanent eux-mêmes leurs anciens lieux de cultes et discréditent eux-mêmes leurs propres symboles. 

C’est ce qu’ont fait tous les peuples conquis par l’arabo-islamisme. 

C’est ce que font la majorité des élites intellectuelles, la quasi-totalité des élus, la plupart des artistes et quasiment tous les média français. 

Il ne reste que le petit peuple qui enrage en silence. 

Et encore, ce petit peuple est lui-même infesté de gens à la naïveté suicidaire.


Je dis aux Français qui collaborent et aux Français qui dorment : la France, et au-delà toute l’Europe, est à un stade bien avancé de son islamisation par le haut. 

Vous avez déjà accepté l’islam dés le moment où vous vous plaignez de l’islam radical et des salafistes. 

Cela sous-entend que vous n’avez pas de problème à vivre sous le joug d’un islam temporairement plus mou. 

Ne vous faites pas d’illusion : même l’islam le plus ramolli ne renoncerait pas à la charia. 

Même si les chefs de l’islamisme en France promulguaient un moratoire de 100 ans sur tout ce qui gène les Français, la charia demeurera une épée de Damoclès qui s’abattra fatalement sur vos têtes un jour, tant que vous n’opposez pas massivement et officiellement un refus ferme et sans appel à l’islam. 

Tariq Ramadan le sait fort bien. 

Le fait d’essayer d’obtenir de lui une condamnation de la lapidation est considéré par ce rusé islamiste comme une sorte de négociation de votre islamisation. 

Ainsi donc, la France négocie son islamisation et semble être disposée à prononcer la chahada pour peu que certaines pratiques barbares soient condamnées et abandonnées par leurs futurs chefs musulmans. 

Sarkozy pensait qu’un président de la République qui met son cul en l’air sous la contrainte, ça peut passer, mais ordonner la lapidation d’une femme, ce n’est pas envisageable. « Pas envisageable pour le moment » répondit Tariq Ramadan en parlant de moratoire.


Vous avez déjà fait de l’islam une religion d’État dés lors que vos dirigeant traitent avec l’UOIF et le CFCM, et leur transfèrent une partie de l’autorité de l’État en signe d’allégeance. 

L’islam est religion d’État en France du moment que vos dirigeants le célèbrent, le cajolent, le subventionnent, le protègent, lui et lui seul. 

En bon État islamique, la France gère les questions de hidjab, de burqa, de prières de rues, de hallal, de sacrifice de moutons, de rupture de jeûne pendant le ramadan et de « mondanités islamiques » avec les dignitaires musulmans supposément modérés. 

Ces dignitaires traitent les élus du peuple, notamment les maires, en véritables chefs de tribus dont il faut obtenir allégeance et loyauté. 

Et ils les obtiennent !



Quand Dalil Boubekeur parle, il se présente en second chef d’État, la tête haute, le verbe facile et une assurance à toute épreuve. 

L’islam est désormais chez lui en France. 

Une mini république islamique dans la République. 

Le coucou a pondu son œuf. 

Plus que quelques « chefs de tribus » récalcitrants à réduire et le pays sera déclaré dar el islam. 

Les ennuis des Français seront terminés. 

Il ne leur restera plus qu’à apprendre les modalités techniques de la pratique islamique par la méthode Assimil. 

Le Maroc et l’Algérie fourniront (fournissent déjà) des professeurs payés à même les impôts – oh pardon, la zakat – du contribuable français.


Les Français du petit peuple ne sont pas myopes. Ils voient les pressions que subissent leurs élus de la part d’une population musulmane communautariste organisée en strates :

  • la masse des musulmans pratiquants brandit comme menace de troubles à l’ordre public,
  • les musulmans modérément radicaux considérés par leurs chefs comme des réservistes,
  • les militants islamistes qui s’occupent de propagande, de lobbysme et de djihad juridique,
  • les salafistes qui font diversion et
  • les terroristes qui terrorisent.


Ils forment un ensemble de joueurs qui travaillent en concert dans un seul objectif : faire plier la République en faisant plier les élus et les institutions. 

Tous enfoncent le même clou : la charia, but ultime de la doctrine islamique. 

Croyez-vous que tous les africains du nord ont été islamisés un par un le lendemain du débarquement de Oqba ? 

Non. 

Il a fallu islamiser d’abord les chefs de tribus, puis marquer l’environnement physique, politique, culturel par des marqueurs musulmans. 

Dans cet environnement devenu désormais familier aux autochtones, les chefs n’ont eu aucun mal à islamiser leurs peuplades « en gros ». 

La charia suit plus tard pour veiller à ce que le processus demeure irréversible. 

C’est ce qu’essaient de faire les conquérants musulmans en France. 

Tariq Ramadan est le premier à jurer qu’il n’est pas question de charia en France. 

Mais dans son for intérieur il ajoute : « pour le moment ». 

Quel musulman, aussi modéré soit-il, serait prêt à renier définitivement et publiquement la charia ? 

Au mieux, il la remet à plus tard. 

Les plus culottés prétendent que ce sont les autres qui ont un intellect déficient et comprennent mal la charia.


N’étant plus à armes égales avec l’Occident, les conquérants islamistes ne baissent pas les bras pour autant. 

Ils se battent, mènent leur djihad ouvertement, mobilisent des troupes de plus en plus nombreuses, tissent des alliances avec des organisations non gouvernementales, infiltrent le monde politique, achètent littéralement la conscience des élus et utilisent la moindre faille de la loi pour la tourner à leur avantage. 

Comme cerise sur le gâteau, ils autorisent ça et là quelques attentats et quelques meurtres, manière de montrer la capacité de nuisance de cette idéologie immonde et tétaniser ainsi toute velléité de résistance. 

Ils montent haut la barre pour amener les Français à accepter un SMIG islamique dans un premier temps. 

Les gauchistes français ne comprennent pas que ce qu’ils appellent salafistes sont aux modérés (Moussaoui, Boubekeur, Ramadan et autres prédicateurs) ce qu’est l’aviation aux fantassins. 

L’aviation brise toute défense sérieuse, ce qui permet aux fantassins d’avancer à découvert jusqu’à encercler le QG ennemi et forcer les généraux à la reddition. 

« Les généraux » français, sont ici les élus du peuple et le gouvernement. Ils sont en train de se rendre un par un.


Enfin, en France, les conquérants islamistes font leur boulot de conquérants, mais ceux qui sont sensés défendre la patrie – c’est-à-dire les élus, les ministres, la société civile, les intellectuels…- ne font pas leur boulot de patriotes. 

C’est pour cela que l’islam pénètre en France comme dans du beurre. 

Sans la moindre résistance. 

Ceux qui essaient de résister sont de simples citoyens qui finissent neutralisés par la loi, discrédités par le politiquement correct ou intimidés par le prêt à penser matraqué jour et nuit par les média. 

À la moindre incartade, ils sont traînés devant les tribunaux sous l’œil goguenard des emburkées et autres kamissés, plus arrogants que jamais. 

Ce n’est pas pour vous décourager, mais je doute fort que les islamolucides virtuels arrivent à faire dissoudre l’UOIF, ni le CFCM, ni à faire interdire de cité le pyromane Tariq Ramadan, ni même à faire fermer le site oumma.com, cette mosquée géante chargé de la propagande islamiste, du lavage de cerveaux et du salissage de patriotes français. 

Ce n’est plus le ver qui est dans le fruit, mais le fruit qui est empêtré dans un enchevêtrement de vers gluants. 

En France, ceux qui se présentent en sauveurs de Marianne se regardent le nombril, crient cocorico, raillent les islamistes au lieu de les combattre sur le terrain, se perdent en jérémiades et demeurent sur la défensive face au MRAP, à la LICRA, à SOS Racisme et autres « intellectuels » français, collabos notoires ayant pignon sur rue. 

Ces terribles résistants virtuels finissent par disparaître, comme Bivouac ID et Liberty vox ou réduits à défendre leur peau comme Riposte laïque.


En France, il est désormais fasciste de combattre le fascisme. 

On est en plein 1984 ! 

Du délire ! 

Il parait que le fascisme ne doit pas être combattu quand il a faim, quand il est au chômage et quand il est porté à bras le corps par des centaines de millions de personnes sans ressources, sans culture, sans instruction et surtout sans vergogne.


Les islamistes (activistes musulmans) sont bien plus puissants que vous. 

Ils sont soutenus par de riches pays arabo-musulmans qui les utilisent comme Cheval de Troie pour faire chanter les pays occidentaux, presque tous en crise financière depuis des années. 

« Nous vous fournirons les capitaux pour relancer votre économie et du pétrole pour votre industrie et, en échange, nous vous fourgons la charia et les gens chargés de la faire respecter ». 

Marché de dupes. 

Seul le peuple pourrait faire la différence. 

Mais il doit renoncer à plusieurs acquis et revenir à un mode vie dans la simplicité volontaire. 

La lutte contre l’islamisation des pays européens passe par la réduction du train de vie des citoyens. 

Les riches souverains musulmans pensent que les Occidentaux sont des êtres cupides, émasculés, veules, ramollis, aux valeurs dévoyées, réduits à leur estomac et à la consommation de biens futiles. 

Ils seraient donc à vendre.



En France, le petit peuple sait qu’il se fait entuber mais il ne sait pas quoi faire. 

La gauche et la droite ? 

C’est kifkif collabo. 

L’extrême droite ? 

Ce n’est pas beau. 

L’extrême gauche ? Déjà bouffée par la gauche. 

La monarchie ? Et que fera-t-on de la révolution française ?


Les Français savent que leurs gouvernements successifs collaborent avec l’islamisme mondial afin d’avoir en contrepartie des investissements et un meilleur accès à l’énergie. 

C’est pour cela qu’ils se taisent et font profil bas face aux militants islamistes de plus en plus arrogants et exigeants. 

Ils font un effort quotidien colossal pour reculer chaque jour leur seuil de tolérance. 

Ce qui me fait dire que ces gens là ne sont plus catholiques, mais bouddhistes. 

Formatés par près d’un siècle de propagande gauchisante prônant un mode vie rentier et un humanisme angélique, les Français font confiance à leur gouvernants qui les traitent comme des enfants. 

On les occupe par une course narcissique effrénée à la beauté plastique, à la mode de chiffons et de gadgets pour qu’ils oublient leur condition d’esclaves inconscients. 

Ils ne savent pas qu’ils vivent au dessus de leurs moyens depuis des décennies et qu’ils ont développé une accoutumance au confort. 

La gauche caviar, plus capitaliste que jamais ! 

En France, les syndicats n’arrangent rien. 

Ces organisations obsolètes qui pensent les entreprises comme des kolkhozes ne veulent pas voir que la lutte n’est plus entre ouvriers et patronat, mais désormais entre pays pourvoyeurs d’énergie et de capitaux d’un côté, et les français d’un autre côté. 

La souveraineté de la France est en jeu alors que le français de gauche pense encore à son bulletin de paie. 

Il est prêt à raser les murs pour aller travailler. 

Travailler pour payer les services prodigués à une armée d’immigrants clandestins pudiquement dénommés « sans papiers ». 

Payer des allocations familiales à des bandes de délinquants déracinés, cancres, apatrides et incultes. 

Payer sa subvention télé pour se faire endoctriner non stop par des merdeux hissés au rang de stars de la télévision. 

Payer les traites de sa voiture qui se fera cramer au prochain soulèvement de bandits en herbe affectueusement dénommés « jeunes ».


Je n’ose même pas parler de cette novlangue en vogue tellement elle me débecte. 

Comme par exemple le concept de « islamistes radicaux » qui indique que ces élites des média n’ont pas seulement accepté l’islam, mais aussi sa forme politique qu’est l’islamisme, tant qu’il n’est pas radical. 

Dire que ce sont des Français qui ont inventé le néologisme « islamiste » pour distinguer le musulman qui milite pour la charia du musulman qui ne milite pas (sans toutefois être en désaccord avec l’islamiste). 

Bah ! Maintenant l’islamiste est fréquentable. 

Le méchant, c’est désormais « l’islamiste radical ». 

Mais comment font-ils pour distinguer l’islamiste de l’islamiste radical ?


Quand ils auront accepté « les islamistes radicaux » sous la contrainte, ils vous diront alors que les nouveaux méchants sont les « islamistes radicaux intégristes ». 

Enfin, harcelés, relancés sans répit, encerclés, acculés dans votre conscience, vous finirez par accepter tout, pourvu qu’on ne pose pas de bombes dans vos salles de cinémas en sursis. 

Comme pour les autres peuples conquis, ce seront vos dirigeants et vos élites qui vous auront islamisés. 

Dans le futur, les islamistes pourront dire à vos descendants que leurs aïeux ont embrassé l’islam de leur propre gré, comme un seul homme, subjugués par les valeurs hautement supérieures de l’islam. 

C’est ce qu’ils disent aux descendants de tous les peuples conquis. 

Comment vous dire que l’islam est déjà en lui-même un radicalisme, un extrémisme, un intégrisme absolu ?


Accepter l’islam, c’est accepter l’islamiste, l’islamiste radical, l’islamiste intégriste, l’islamiste salafiste, l’islamiste terroriste et la charia. 

C’est un kit. 

Tout vient avec, dans le même emballage. 

Le dernier berger perdu dans les Pyrénées le sait, mais pas les vedettes chiantes de la télévision française, ni les journalistes, ni les ministres, ni les députés, ni les maires, ni les intellectuels.


À partir de mon coin perdu, je capte TV5 Monde. 

Quand je vois le « beau monde » qui défile sur le plateau de l’émission « On n’est pas couché », je vois une France qui s’est couchée, justement. 

Et puis, comment les Français du peuple arrivent-ils à endurer pendant des années cet animateur fade et ridicule, en plus de ses invités pour la plupart insipides, voire stupides ? 

C’est du Ardisson craché.


Bon courage aux Français.

Arilès



dimanche 9 décembre 2012

LE DOCTEUR WAFA SULTAN - LE PROBLÈME C'EST L'ISLAM


Ashkelon, dimanche 9 décembre 2012 – 25 Kislev 5773

בס''ד

LE DOCTEUR WAFA SULTAN - LE PROBLÈME C'EST L'ISLAM
23 mars 2011
Durée : 6 mn 32
Langue : anglais – sous-titré français

LE DOCTEUR WAFA SULTAN RIDICULISE LE CHEIKH OMAR BAKRI
8 août 2012
Durée : 1 h 58
Langue : arabe

EX-MUSLIM, DOCTOR WAFA SULTAN DEBATES SHEIKH OMAR BAKRI
18 mai 2012
Durée : 7 mn 24 (EXTRAIT)
Langue : arabe sous-titré anglais

LE DOCTEUR WAFA SULTAN DÉBAT AVEC OMAR BAKRI : 1ÈRE PARTIE
14 octobre 2012
Durée : 9 mn 16 (EXTRAIT)
Langue : arabe avec traduction simultanée en français

LE CHOC DES CIVILISATIONS SELON LE DOCTEUR WAFA SULTAN
21 février 2006
Durée : 5 mn 29
Langue : arabe – sous-titré français

LE DOCTEUR WAFA SULTAN : UNE FEMME MUSULMANE QUI SE LÈVE CONTRE L'ISLAM
12 juin 2008
Durée : 8 mn 30
Langue : arabe – sous-titré français

LE DOCTEUR WAFA SULTAN TÉMOIGNE SUR LES MONSTRUOSITÉS DE L'ISLAM ET APPELLE AU RÉVEIL DE L'OCCIDENT
7 mai 2012
Durée : 10 mn 54
Langue : anglais – sous-titré français

LE DOCTEUR WAFA SULTAN ATOMISE L'ISLAM SUR AL-JAZEERA - PARTIE N°1DE2.FLV
4 mars 2008
Durée : 6 mn 48
Langue : arabe – sous-titré français

LE DOCTEUR WAFA SULTAN : NON À LA PERSÉCUTION DES AMAZIGH ET À LEUR ARABISATION ! QU'ON NOUS RESPECTE !
21 avril 2010
Durée : 7 mn 07
Langue : arabe

Mosché Ashkelon

samedi 8 décembre 2012

ILS VEULENT FAIRE D'ERETZ ISRAËL UNE TERRE JUDENREIN !


Ashkelon, samedi soir 8 décembre 2012 – 25 Kislev 5773
בס''ד
Je sais, je choque quelquefois certains par mes propos qu'ils (ou qu'elles) considèrent extrémistes.

Il serait temps d'avoir le courage et la lucidité de regarder la réalité en face !

Oui... la réalité est dérangeante... elle est inconfortable...
Ça dérange le cocooning dans lequel il est plus agréable de se complaire... de se prélasser physiquement... moralement et intellectuellement...

En Israël, trop de nos coreligionnaires préfèrent croire... espérer une « paix » avec les Arabes... contre l'abandon d'une partie d'Eretz Israël... Ce sentiment est également partagé par trop de Juifs en Gola...

Pendant des dizaines d'années, la Nation Israélienne a voulu croire cela possible...

Pendant ce temps, les Arabes assassinaient des milliers de nos enfants !

Pendant ce temps les Arabes Gazaoui tiraient des milliers de missiles sur nos maisons !
Sur les populations civiles Juives...

SANS AUCUNE CONDAMNATION DU MONDE NON-JUIF !

Israël n'a plus le droit de jouer ainsi avec l'avenir de notre Terre... de notre Peuple... de nos Enfants...

À Gaza aujourd’hui, avec le soutien de l'Occident et du reste du monde arabo-musulman, les Arabes ont, une fois de plus exprimé CLAIREMENT leur objectif...

SI NOUS NE FAISONS PAS CE QU'IL FAUT, SOYONS CERTAINS QUE LES ARABES, EUX LE FERONT... ILS VIENNENT, POUR LA ÉNIÈME FOIS DE LE CONFIRMER...

SI NOUS NE LES EXPULSONS PAS... ILS FERONT D'ERETZ ISRAËL UNE TERRE JUDENREIN !

ET ILS LE FERONT À LEUR MANIÈRE... VOUS SAVEZ TOUS CE QUE CELA SIGNIFIE !

JE NE SUIS PAS ULTRA-NATIONALISTE... JUSTE ISRAÉLIEN ET COURAGEUSEMENT LUCIDE !
.
http://mosche-d-ashkelon.blogspot.co.il/2012/11/je-ne-suis-pas-ultra-nationaliste-juste.html 
Mosché Ashkelon

Texte copyright Mosche Ashkelon
Reproduction autorisée avec citation expresse de la source et du lien du Blog

lundi 3 décembre 2012

FULL TEXT OF ISRAELI AMBASSADOR RON PROSOR’S SPEECH TO THE UN GENERAL ASSEMBLY NOVEMBER 29, 2012


Israël, lundi 3 décembre 2012 -
בס''ד
Mr. President,


Today I stand before you tall and proud because I represent the world’s one and only Jewish state. A state built in the Jewish people’s ancient homeland, with its eternal capital Jerusalem as its beating heart.
We are a nation with deep roots in the past and bright hopes for the future. We are a nation that values idealism, but acts with pragmatism. Israel is a nation that never hesitates to defend itself, but will always extend its hand for peace.
Peace is a central value of Israeli society. The bible calls on us:

« seek peace and pursue it ».
 
Peace fills our art and poetry. It is taught in our schools. It has been the goal of the Israeli people and every Israeli leader since Israel was re-established 64 years ago.
srael’s Declaration of Independence states, “We extend our hand to all neighbouring states and their peoples in an offer of peace and good neighborliness, and appeal to them to establish bonds of cooperation and mutual help…”
This week was the 35th anniversary of President Anwar Sadat’s historic visit to Jerusalem. In a speech just before that visit, President Sadat famously stood in the Egyptian parliament in Cairo and stated that he would go « to the ends of the earth » to make peace with Israel.
Israel’s prime minister at the time, Menachem Begin, welcomed President Sadat to Israel, and paved the way for peace. This morning Prime Minister Netanyahu stood at the Menachem Begin Center at said this about the resolution that you are about to vote on:
« Israel is prepared to live in peace with a Palestinian state, but for peace to endure, Israel’s security must be protected.  The Palestinians must recognize the Jewish State and they must be prepared to end the conflict with Israel once and for all.
None of these vital interests, these vital interests of peace, none of them appear in the resolution that will be put forward before the General Assembly today and that is why Israel cannot accept it.  The only way to achieve peace is through agreements that are reached by the parties and not through U.N. resolutions that completely ignore Israel’s vital security and national interests.  And because this resolution is so one-sided, it doesn’t advance peace, it pushes it backwards.
As for the rights of Jewish people in this land, I have a simple message for those people gathered in the General Assembly today, no decision by the U.N. can break the 4,000-year-old bond between the people of Israel and the land of Israel. »
Mr. President,
The People of Israel wait for a Palestinian leader that is willing to follow in the path of President Sadat. The world waits for President Abbas to speak the truth that peace can only be achieved through negotiations by recognizing Israel as a Jewish State. It waits for him to tell them that peace must also address Israel’s security needs and end the conflict once and for all.
For as long as President Abbas prefers symbolism over reality, as long as he prefers to travel to New York for U.N. resolutions, rather than travel to Jerusalem for genuine dialogue, any hope of peace will be out of reach.
Mr. President,
Israel has always extended its hand for peace and will always extend its hand for peace. When we faced an Arab leader who wanted peace, we made peace. That was the case with Egypt. That was the case with Jordan.
Time and again, we have sought peace with the Palestinians. Time and again, we have been met by rejection of our offers, denial of our rights, and terrorism targeting our citizens.
President Abbas described today’s proceedings as “historic”. But the only thing historic about his speech is how much it ignored history.
The truth is that 65 years ago today, the United Nations voted to partition the British Mandate into two states: a Jewish state, and an Arab state. Two states for two peoples.
Israel accepted this plan. The Palestinians and Arab nations around us rejected it and launched a war of annihilation to throw the « Jews into the sea ».
The truth is that from 1948 until 1967, the West Bank was ruled by Jordan, and Gaza was ruled by Egypt. The Arab states did not lift a finger to create a Palestinian state. Instead they sought Israel’s destruction, and were joined by newly formed Palestinian terrorist organizations.
The truth is that at Camp David in 2000, and again at Annapolis in 2008, Israeli leaders made far-reaching offers for peace. Those offers were met by rejection, evasion, and even terrorism.
The truth is that to advance peace, in 2005 Israel dismantled entire communities and uprooted thousands of people from their homes in the Gaza Strip. And rather than use this opportunity to build a peaceful future, the Palestinians turned Gaza into an Iranian terror base, from which thousands of rockets were fired into Israeli cities. As we were reminded just last week, the area has been turned into a launching pad for rockets into Israeli cities, a haven for global terrorists,  and an ammunition dump for Iranian weapons.
Time after time, the Palestinian leadership refused to accept responsibility.  They refused to make the tough decisions for peace.

Israel remains committed to peace, but we will not establish another Iranian terror base in the heart of our country.
We need a peace that will ensure a secure future for Israel.
Three months ago, Israel’s Prime Minister stood in this very hall and extended his hand in peace to President Abbas. He reiterated that his goal was to create a solution of two-states for two-peoples — where a demiliteralized Palestinian state will recognize Israel as a Jewish State.
That’s right. Two states for two peoples.
In fact, President Abbas, I did not hear you use the phrase « two states for two peoples » this afternoon. In fact, I have never heard you say the phrase « two states for two peoples ». Because the Palestinian leadership has never recognized that Israel is the nation-state of the Jewish people.
They have never been willing to accept what this very body recognized 65 years ago. Israel is the Jewish state.
In fact, today you asked the world to recognize a Palestinian state, but you still refuse to recognize the Jewish state.
Not only do you not recognize the Jewish state, you are also trying to erase Jewish history. This year, you even tried to erase the connection between the Jewish people and Jerusalem. You said that Jews were trying to alter the historic character of Jerusalem. You said that we are trying to « Judaize Jerusalem ».
President Abbas, the truth is that Jerusalem had a Jewish character long before most cities in the world had any character! Three thousand years ago King David ruled from Jerusalem and Jews have lived in Jerusalem ever since.
President Abbas, instead of revising history, it is time that you started making history by making peace with Israel.
Mr. President,
This resolution will not advance peace.
This resolution will not change the situation on the ground. It will not change the fact that the Palestinian Authority has no control over Gaza. That is 40 percent of the territory he claims to represent!
President Abbas, you can’t even visit nearly half the territory of the state you claim to represent.
That territory is controlled by Hamas, an internationally recognized terrorist organization that rains missiles on Israel’s civilians. This is the same Hamas that fired more than 1,300 rockets into the heart of Israel’s major cities this month.
This resolution will not confer statehood on the Palestinian Authority, which clearly fails to meet the criteria for statehood.

This resolution will not enable the Palestinians Authority to join international treaties, organizations, or conferences as a state.

This resolution cannot serve as an acceptable terms of reference for peace negotiations with Israel. Because this resolution says nothing about Israel’s security needs. It does not call on the Palestinians to recognize Israel as the Jewish State. It does not demand an end of conflict and a termination of all claims.
Let me tell you what this resolution does do.
This resolution violates a fundamental binding commitment. This is a commitment that many of the states here today were themselves witness to. It was a commitment that all outstanding issues in the peace process would only be resolved in direct negotiations.
This resolution sends a message that the international community is willing to turn a blind eye to peace agreements. For the people of Israel, it raises a simple question: why continue to make painful sacrifices for peace, in exchange for pieces of paper that the other side will not honor?
It will make a negotiated peace settlement less likely, as Palestinians continue to harden their positions and place further obstacles and preconditions to negotiations and peace.
And unfortunately, it will raise expectations that cannot be met, which has always proven to be a recipe for conflict and instability.
There is only one route to Palestinian statehood. And that route does not run through this chamber in New York. That route runs through direct negotiations between Jerusalem and Ramallah that will lead to a secure and lasting peace between Israelis and Palestinians.
There are no shortcuts. No quick fixes. No instant solutions. As President Obama, said in 2010, « Peace cannot be imposed from the outside. »

The real message of this resolution for the people of Israel is that the international community will turn a blind eye to violations of these agreements by the Palestinians.
Mr. President, 
In submitting this resolution, the Palestinian leadership is once again making the wrong choice.
65 years ago the Palestinians could have chosen to live side-by-side with the Jewish State of Israel. 65 years ago they could have chosen to accept the solution of two states for two peoples. They rejected it then, and they are rejecting it again today.
The international community should not encourage this rejection. It should not encourage the Palestinian leadership to drive forward recklessly with both feet pressing down on the gas, no hands on the wheel, and no eyes on the road.
Instead it should encourage the Palestinians to enter into direct negotiations without preconditions in order to achieve an historic peace in which a demilitarized Palestinian state recognizes the Jewish state.
Mr. President,
Winston Churchill said, “The truth is incontrovertible.  Panic may resent it … ignorance may deride it … malice may distort it … but there it is.”
The truth is that Israel wants peace, and the Palestinians are avoiding peace.
Those who are supporting the resolution today are not advancing peace. They are undermining peace.
The U.N. was founded to advance the cause of peace. Today the Palestinians are turning their back on peace. Don’t let history record that today the U.N. helped them along on their march of folly.
Thank you, Mr. President.